« Oui bien sûr. Ce qui ne signifie pas que je sois pour la collectivisation des moyens de production. Je crois à l'économie de marché, à partir du moment où elle est contrecarrée par des valeurs non marchandes, par des solidarités humaines, et à partir du moment où le marché ne s'étend pas à toutes les strates de la vie humaine. C'est un outil et pas un projet.
»