« Paradoxalement, le végétarien prouve qu'il est un animal humain qui réalise ce qu'aucun animal non humain n'accomplit : il dit non au déterminisme prédateur. Ce en quoi le végétarien incarne à mes yeux une forme éthique suprême. De même l'opposant à la chasse, à la pêche, à la corrida, aux combats de coqs.
»