Poèmes de Clement marot (50)



Du partement d'Anne

Épigramme qu'il perdit contre Hélène de Tournon

Épitaphe de Jehan Serre, excellent joueur de farces

A Etienne du temple

A madame de Ferrare

A monsieur de Pothon

A un poète français

A une Damoyselle malade

A une médisante

Adieu aux Dames de la Cour

Amour et Mort m'ont fait outrage

Au roi de Navarre

Au seigneur Theocrenus, lisant à ses disciples

Aux damoiselles paresseuses d'écrire à leurs amis

Ballade de frère Lubin

Ballade de s'amie bien belle

D'où vient cela, belle, je vous supplie

D'un soi défiant de sa dame

De celui de qui l'amie a fait nouvel ami

De celui qui incite une jeune dame à faire ami

De celui qui ne pense qu'en s'amie

De celui qui nouvellement a reçu lettres de s'amie

De celui, qui est demeuré, et s'amie s'en est allée

De l'abbé et de son valet

De l'amant douloureux

De l'amant marri contre sa dame

De l'amour du siècle antique

De l'amoureux ardant

De la rose

De sa grande amie

De soi-même

Des trois couleurs, gris, tanné et noir

Dieu gard ma Maîtresse et Régente

Du disciple soutenant son maître contre les détracteurs

Du mal content d'amour

J'ai contenté

J'ai grand désir

Je ne fais rien que requérir

Je suis aimé de la plus belle

Jouissance vous donnerai

Languir me fais sans t'avoir offensée

Ma Dame ne m'a pas vendu

Plaisir n'ai plus, mais vis en déconfort

Pour le May planté par les Imprimeurs de Lyon

Quand j'ai pensé en vous, ma bien-aimée

Qui veut avoir liesse

Secourez-moi, ma Dame par amours

Si de nouveau j'ai nouvelles couleurs

Sonnet de la différence du Roy et de l'empereur

Tant que vivrai en âge florissant