Poèmes de Francois Coppee (51) A Paris, en été, les soirs sont étouffants... Adagio Avril C'est vrai, j'aime Paris d'une amitié malsaine... Champêtres et lointains quartiers, je vous préfère Chanson d'exil Décembre De la rue on entend sa plaintive chanson De même que Rousseau jadis fondait en pleurs Elle sait que l'attente est un cruel supplice En automne Epitaphe Espoir timide Est-ce que les oiseaux se cachent pour mourir ? Etoiles filantes Il a neigé la veille et, tout le jour, il gèle Invocation J'écris près de la lampe. Il fait bon. Rien ne bouge J'adore la banlieue avec ses champs en friche Janvier Je suis un pâle enfant du vieux Paris... Juin L'allée est droite et longue, et sur le ciel d'hiver L'Amazone La Cueillette des Cerises La petite marchande de fleurs Le crépuscule est triste et doux comme un adieu Le lis Le Rêve du Poète Mai Matin d'Octobre Menuet Mon Père Morceau à quatre mains Noces du samedi ! noces où l'on s'amuse Nostalgie parisienne Novembre Orgueil d'aimer Petits bourgeois Pitié des choses Prisonnier d'un bureau, je connais le plaisir Réponse Ritournelle Romance Ruines du coeur Septembre au ciel léger taché de cerfs-volants Serment Souvenir du Danemark Un rêve de bonheur qui souvent m'accompagne Volupté des parfums ! — Oui, toute odeur est fée Vous êtes dans le vrai, canotiers, calicots