Poèmes de Jean Antoine de Baif (33) Épitaphe Ô doux plaisir plein de doux pensement Ô ma belle rebelle Ô Toy par qui jour et nuit je soupir A Meline Après les vents, après le triste orage Aubade de May Babillarde, qui toujours viens Bien, je l'ay dit, je le confesse Ces yeux ces yeux, doux larrons de mon ame D'Amour d'Amour je fu je fu blessé D'un chapeau qui fleuronne De Rose Depuis le jour que mon ame fut prise Depuis qu'Amour ma poitrine recuit Du Printemps Durant l'esté, par le vergier grillé Francine a si bonne grace Haute beauté dans une humble pucelle Helas, si tu me vois constant en inconstance L'Amour qui me tourmente La Rose Mets-moi dessus la mer d'où le soleil se lève Metz moy au bord d'ou le soleil se lève Psaume CXXI Psaume V Psaume VI Quand je te vis entre un millier de Dames Quand le pilot voit le nord luire ès cieux Quiconque fit d'Amour la pourtraiture Tu me desplais, quoy que belle tu soys Un jour, quand de lyver l'ennuieuse froidure Viens, mort, à mon secours viens