Poèmes de Maurice Sceve (15) Au moins toi, claire et heureuse fontaine En devisant un soir me dit ma Dame En tel suspens ou de non ou d'oui En toi je vis, où que tu sois absente Epitaphe de Pernette de Guillet L'oisiveté des délicates plumes Le jour passé de ta douce présence Plutôt seront Rhône et Saône disjoints Quand l'ennemi poursuit son adversaire Si tu t'enquiers pourquoi sur mon tombeau Sur la fontaine de Vaucluse Tant je l'aimais qu'en elle encor je vis Tout le repos, ô nuit, que tu me dois Tu cours superbe, ô Rhône, florissant Tu te verras ton ivoire crêper