Poèmes de Paul Jean Toulet (76) Éléphant de Paris Épitaphe Ô jour qui meurs à songer d'elle Ô poète, à quoi bon chercher A l'Alcazar neuf, où don Jayme A Londres je connus Bella Aimez-vous le passé Ainsi, ce chemin de nuage Alcôve noire Amarissimes Au détour de la rue étroite Avril, dont l'odeur nous augure Boulogne C'était longtemps avant la guerre C'était sur un chemin crayeux C'était, dans les vapeurs du nard Carthame chatoyant, cinabre Ce fut par un soir de l'automne Ces roses pour moi destinées Cet huissier, qui jetait, l'été Comme à ce roi laconien Comme les dieux gavant leur panse D'un noir éclair mêlés Dans la rue-des-Deux-Décadis Dans le lit vaste et dévasté Dans le silencieux automne De tout ce gala de province Dessous la courtine mouillée Douce plage où naquit mon âme En Arles En souvenir des grandes Indes Géronte d'une autre Isabelle Il pleuvait. Les tristes étoiles In memoriam J. G. M. Industrieux fils de Dédale Iris, à son brillant mouchoir J'ai beau trouver bien sympathique L'immortelle, et l'oeillet de mer L'ingénue La Cigale La vie est plus vaine Le coucou chante Le Garno Le microbe : Botulinus Le sonneur se suspend, s'élance Le temps d'Adonis Le tremble est blanc Les trois dames d'Albi Longtemps si j'ai demeuré seul Me rendras-tu, rivage basque Molle rive dont le dessin Nane, as-tu gardé souvenir Nocturne Nous jetâmes l'ancre, Madame On descendrait, si vous l'osiez Pâle matin de Février Plus oultre Pour une dame imaginaire Puisque tes jours ne t'ont laissé Quelquefois... Réveil Rêves d'enfant Saigon : entre un ciel d'escarboucle Soir de Montmartre Sur l'océan couleur de fer Sur le canal Saint-Martin glisse Tel variait au jour changeant Toi qu'empourprait Toi qui fais rêver, ô brune Toi, pour qui les dieux du mystère Tout ainsi que ces pommes Toute allégresse a son défaut Trottoir de l'Élysé'-Palace Un Jurançon 93 Vous qui retournez du Cathai Vous souvient-il de l'auberge