Poèmes de clovis hesteau de nuysement (12) Afin qu'à l'avenir on t'adore, ô Déesse Combien, combien de fois, au soir sous la nuit brune Comme on voit en été une bruyante nue De la cime des monts les fiers torrents se roulent Du soleil radieux la brillante splendeur Le vautour affamé qui du vieil Prométhée Maintenant que le Ciel, plein d'une alme influence Or que le grand flambeau qui redore les Cieux Passants, ne cherchez plus dessous l'Orque infernal Puisse en dépit du Ciel et du grand Jupiter Quand le grand oeil du Ciel tournoyant l'horizon Un grand voile obscurci parmi l'air s'étendait