Poèmes de flaminio de birague (18) C'était au jour piteux que la troupe sacrée Complainte Désespéré, chétif, du repos de ma vie Divin Ronsard, après que la douleur Hélas ! mes tristes yeux sont changés en fontaines Hôte mélancolique J'aime si hautement que je n'ose nommer Je sens déjà saillir de toute fosse obscure Ma vie est un Enfer plein d'ennuis et de peines Madame, si tu veux me prêter ton oreille Plutôt les pâles Soeurs me privent de lumière Que me sert de verser deux ruisseaux de mes yeux Qui veut voir ici-bas un Astre reluisant Renais, renais encor, Méduse monstrueuse Sus, gants, allez couvrir la main gentille et belle Tous ces oiseaux qui sous la nuit obscure Vous qui habitez l'Orque noir Vous rochers orgueilleux, et vous forêts fidèles