Poèmes de joachim bernier de la brousse (14) Ô Songe doux, ô fantôme croyable Arbres feuillus, dont la verdeur première Arbres qui lamentez la cruelle infortune C'est une folie extrême Déjà le ciel prenait sa cape noire Je voudrais bien sous la voûte infernale L'oiseau miraculeux de l'heureuse Arabie Par l'effort du destin, ma gentille Cyprine Pauvre Ixion, pauvre amant misérable Pourquoi de tes dédains sens-je la cruauté Pourquoi faut-il que ta face divine Qui me peut réjouir puisque tu gis malade Tout le long de la nuit et lorsqu'à notre jour Vous le dites m'amour ? Soyez religieuse