Poèmes de pernette du guillet (40) À qui plus est un Amant obligé Ô vraie amour, dont je suis prise A un sot rimeur, qui trop l'importunait d'aimer Aucuns ont dit la Théorique C'est un grand mal se sentir offensé C'est une ardeur d'autant plus violente Celle clarté mouvante sans ombrage Combien de fois ai-je en moi souhaité Comme le corps ne permet point de voir Coq-à-l'âne Désespoir Dames, s'il est permis Heureuse est la peine Jà n'est besoin que plus je me soucie J'ai été par un long temps déçue Je ne crois point ce que vous dites Je suis la Journée Je suis tant bien que je ne le puis dire Je te promis au soir que... L'une vous aime, et si ne peut savoir La fortune envieuse La nuit était pour moi si très-obscure Le Corps ravi, l'Âme s'en émerveille Le grand désir du plaisir admirable Le haut pouvoir des Astres a permis Mômerie des cinq postes d'Amour Or qui en a, ou en veut avoir deux Par ce dizain clairement je m'accuse Parfaite amitié Point ne se faut sur Amour excuser Pour une anatomie Prenez le cas que, comme je suis vôtre Quand vous voyez, que l'étincelle Qui dira ma robe fourrée Sais-tu pourquoi de te voir j'eus envie Sans connaissance aucune en mon Printemps j'étais Si j'aime cil, que je devrais haïr Si je n'ai pu comme voulois Soit que par égale puissance Un seul je hais, qui deux me fait aimer