Poèmes de salomon certon (6) Espritz qui voletez sur le bruict que bourdonne J'ose glisser sur ton douteux empire Muse, conseil ; lequel il me faut prendre Muse, n'est-ce point là le feu de la Deesse Qui voudroit resister à la puissance tienne Sous ce large peuplier par trois fois trois je tourne