Poèmes de simeon guillaume de la roque (32) Ô misérable vie ! ici bas agitée Ô toi qui fais séjour, orgueilleuse Sirène Amour m'a fait un second Prométhée Amour trouva Diane en la claire fontaine Augmentez mes tourments, faites languir mon âme Bel albâtre vivant qu'un fin crêpe nous cache Celui qui va disant que la mort inhumaine Complainte Deux femmes aujourd'hui me donnent espérance Doux sommeil enchanteur qui silles la paupière J'étais en liberté quand celle qui m'engage Je me vais comparant à la mer vagabonde Je pensais que mon coeur échappé du naufrage Je suis en ces déserts l'amoureuse Clytie Je suis le triste oiseau de la nuit solitaire Je vous avais donné tous les dons que les cieux Las ! on dit que La Roque a l'humeur solitaire Madame, ce matin je vous offre une fleur Niobé, tes enfants jadis furent heureux Obscur vallon, montagne sourcilleuse Ode à la nuit Or que la nuit et le silence Parmi ces monts où séjourne l'ombrage Plainte Puisque je reconnais que le ciel détermine Puisque mon espérance est à l'extrémité Puissante déité, redoutable Inconstance Quand je veux mesurer votre auguste hautesse Sentir d'un feu brûlant l'extrême violence Sous les ombres du bois, au bord d'une fontaine Stances Stances au sommeil