489 poèmes avec "aile" | Page 22





... d'abel à caïn réprouvé ; amour, tu mêles sous ton aile toute la vie universe... Voir le poème



... vous riez ! bon pour vous, cruelle ! car ce vers vous flatte de l'aile, et c'est un complime... Voir le poème



... a frémi comme un monde au ventre de la nuit, c'est le commencement des rumeurs de son aile ;il veille sur le sag... Voir le poème



... j'aimais vos yeux, où sans effroi battent les ailes de votre Âme, qui f... Voir le poème



... les mains sont l'homme, ainsi que les ailes l'oiseau ; les mains... Voir le poème



... sur ses ailes, amour, d'un vol plein d... Voir le poème



... Ô nuit, favorable aux chagrins ! viens donc, et, porte sur ton aile l'oubli des perfides ... Voir le poème



... reconnaît et fuit l'esclavage que lui présente l'oiseleur.aile... Voir le poème



... je pressais dans mes bras ma maîtresse timide ; voici l'alcôve sombre, où d'une aile rapidel'essaim des vo... Voir le poème



... dès mon printemps jusqu'au froid de mon âge ? aile... Voir le poème



... ce vieillard, contraire aux amants, des ailes porte,et, en fuyant,... Voir le poème



... voici que le matin frise comme un jet d'eau. l'air est un écran d'or où des ailes sont peintes ; pourq... Voir le poème



... des chérubins, dans le silence, l'aile s'étend ; ton char s'él... Voir le poème



... et qu'un pinceau trempé dans des couleurs plus belles leur enrichit le bec, les plumes et les ailes ; enfin, tous les ob... Voir le poème



... minuit faisait jaillir, comme des étincelles, les gerbes de ses sons qui, palpitant des ailes,montaient et vibraie... Voir le poème



... vois-tu, soulevant de son aileun nuage de tourbillon... Voir le poème



... les chevaux pesants, dont les pieds tonnants font le bruit des eaux que l'orage bat d'une aile d'éclair, s'élancent et... Voir le poème



... voici que ton aile est prise, voici le p... Voir le poème



... mais, hélas ! les vents ironiques emportent notre aile en lambeaux. ah ! du ... Voir le poème



... rien ne bougeait encore au front des palais. l'eau était morte. les camps d'ombres ne quittaient pas la route du bois. j'ai marché, réveillant les haleines vives et tièdes, et les pierreries regardèrent, et les ailes se levèrent sans br... Voir le poème