1339 poèmes avec "aire" | Page 4





... elle croit, elle sait, cette vierge inféconde et pourtant nécessaire à la marche du monde,br... Voir le poème



... c'est l'ennui ! - l'oeil chargé d'un pleur involontaire,il rêve d'échafauds... Voir le poème



... haine, frissons, horreur, labeur dur et forcé, et, comme le soleil dans son enfer polaire,mon coeur ne sera plu... Voir le poème



... et les six autres mois la nuit couvre la terre ; c'est un pays plus nu que la terre polaire ; - ni bêtes, ni rui... Voir le poème



... et d'autres, dont la gorge aime les scapulaires, qui, recélant un f... Voir le poème



... - je le hais comme vous haïssez dieu. - eh ! qu'aimes-tu donc, extraordinaire étranger ?- j'aime l... Voir le poème



... de quelque monstrueux crésus, nous avons, pour plaire à la brute,digne vas... Voir le poème



... ces pieds à brodequins, ces doigts à castagnettes, qui sauront satisfaire un coeur comme le mien.b... Voir le poème



... a cet agonisant que le loup déjà flaire et que surveille le ... Voir le poème



... et ton rire trempé de pleurs qu'on ne voit pas, pour faire épanouir la rate du vulg... Voir le poème



... citadin, campagnard, vagabond, sédentaire,que son petit cerveau... Voir le poème



... cependant des démons malsains dans l'atmosphère s'éveillent lourdement, comme des gens d'affaire,et cognent en volant ... Voir le poème



... il la terrasse au bord d'un gouffre séculaire,où, lazare odorant d... Voir le poème



... Ô moine fainéant ! quand saurai-je donc fairedu spectacle vivant de... Voir le poème



... songea-t-il dans ses nuits morbides a faire du vin un linceul ?b... Voir le poème



... et pour la déranger du rocher de cristal où, calme et solitaire, elle s'était assise.br... Voir le poème



... les chats puissants et doux, orgueil de la maison, qui comme eux sont frileux et comme eux sédentaires.amis de la scien... Voir le poème



... l'autre, par son enfant madone transpercée, toutes auraient pu faire un fleuve avec leurs pleu... Voir le poème



... des fantômes puissants qui dans les crépuscules déchirent leur suaire en étirant leurs doigts ... Voir le poème



... nul trait ne distinguait, du même enfer venu, ce jumeau centenaire, et ces spectres baroques... Voir le poème