2191 poèmes avec "anc" | Page 50





... sur le front du songeur ténébreux et rêvant, et de vagues blancheurs frissonnent dans la ... Voir le poème



... grave, il songeait ; l'horreur contemplait la splendeur. (oh ! pourquoi la souffrance et pourquoi la laideur ?... Voir le poème



... très fort pour qu'il restât tendre, très blanc pour qu'il restât pur,b... Voir le poème



... s'élève gravement vers dieu, père du jour; et toutes les blancheurs sont des strophes d'... Voir le poème



... le voile du matin sur les monts se déploie. vois, un rayon naissant blanchit la vieille tour ; ... Voir le poème



... lui, le souffrant du mal éternel, il se verse, sans épuiser son flanc d'où sort une clarté. ... Voir le poème



... les saules tout ridés, les chênes vénérables, l'orme au branchage noir, de mousse appes... Voir le poème



... il est dans l'atrium, le beau rouet d'ivoire. la roue agile est blanche, et la quenouille est n... Voir le poème



... l'arbre était bon ; la fleur était une vertu ; c'est trop peu d'être blanc, le lys était candide ; ... Voir le poème



... dans le grand bois sauvage au pied du mont sacré ; il vivait là, chassant, rêvant, parmi les branches ; nuit et jour, po... Voir le poème



... il reploya son aile aux ongles de granit et se tordit les bras. - et l'astre s'éteignit.anc... Voir le poème



... Ô front blanc qu'envahit la grande nuit... Voir le poème



... c'est le galop. il fuit, s'élance,puis en cadences... Voir le poème



... accuse l'homme vicieux. l'homme tient l'ange en sa puissance. oh ! quel tonnerre ... Voir le poème



... tient des femmes sa clarté ; la perle blanche, sans eve,sans toi,... Voir le poème



... dans ce champ, lit fatal de la sieste dernière, des moineaux francs faisaient l'école buiss... Voir le poème



... la mère écoute et se penche ; la veuve à la coiffe blanche pleure et s'en va.... Voir le poème



... ils en usent. Ô lutte étrange ! acharnement ! chacun à grand bruit coupe une branche de l'arbre.là, des... Voir le poème



... c'est eschyle traduit par le père brumoy. j'ai payé quinze francs quatre oeufs frais, non ... Voir le poème



... tous ces nageurs charmants de la lumière bleue, chardonneret, pinson, moineau franc, hochequeue,croyez-vo... Voir le poème