158 poèmes avec "bete" | Page 5





... il n'est, pour voir, que l'oeil du maître. quant à moi, j'y mettrais encor l'oeil de l'amant.bete... Voir le poème



... parlez au diable, employez la magie, vous ne détournerez nul être de sa fin.bete... Voir le poème



... la vieille, au lieu du coq, les fit tomber par là de charybde en scylla.bete... Voir le poème



... le loup l'emporte, et puis le mange, sans autre forme de procès.bete... Voir le poème



... prenez femme, abbaye, emploi, gouvernement : les gens en parleront, n'en doutez nullement.bete... Voir le poème



... notre ennemi, c'est notre maître : je vous le dis en bon françois.bete... Voir le poème



... qui toujours envelopperait l'autre âme, imparfaite et grossière.bete... Voir le poème



... j'en conviens ; mais de quoi sert-elle avec des ennemis sans foi ?bete... Voir le poème



... et par cet apologue, insigne entre les fables, les ramena dans leur devoir.bete... Voir le poème



... qu'un homme seul eût plus de sens qu'une multitude de gens.bete... Voir le poème



... et l'arc après ; mais lui, les ramassant et les tirant, me fit cent et cent brèches.bete... Voir le poème



... mon coeur bat, bat, bat, bat... dis, maman, tu m'appelles ?bete... Voir le poème



... l'ombre de tes maternelles protubérances, en t'offrant le miroir de mes et coetera....bete... Voir le poème



... ecoutant vaguement dans la nuit solitaire le roulement impur d'un vieux fiacre attardé.bete... Voir le poème



... réservant ici-bas pour la plante et la bête le calme bienheureux de la passivité.bete... Voir le poème



... le jour saint marc en avril gracieux, tes rossignols, de te voir soucieux.bete... Voir le poème



... noyés dans le néant des suprêmes ennuis, vous mourrez bêtement en emplissant vos poches.bete... Voir le poème



... laisser, pour être un dieu, sur la cime enflammée, ta cendre et ta massue et la peau de némée !bete... Voir le poème



... ses petits affamés seront repus ce soir.bete... Voir le poème



... nous sommes ton péché, ton supplice et ta race... meurs, nous vivrons ! - et l'homme épouvanté mourut.bete... Voir le poème