660 poèmes avec "bras" | Page 1





... cherche la mienne, et dont je sente sur mon cœur les bras se fermer !une fo... Voir le poème



... non : ces rires, ces pleurs, ces baisers, ces morsures, ce cou, ces bras meurtris d'amoureuses ble... Voir le poème



... où se trame ma mort, et ma présence effraie ce qu'embrassent la terre et la voûte... Voir le poème



... Ô enfans insensés, prodigues de ma vie, tordez vos petits bras, mordez vos petits doigts... Voir le poème



... tu chauffes ta froideur : tes délicates mains attisent mon brasier et tes yeux inhumains ... Voir le poème



... par les ressuscitants promptement sont percés ; ici un arbre sent des bras de sa racine grouille... Voir le poème



... je tromperai l'enfant, car pensant m'embraser, tant de pleurs sor... Voir le poème



... brûla le marbre cher, et l'ivoire d'Éphèse. si tu m'embrases plus, n'attends de moi ... Voir le poème



... Ô doux repos de mes pennes, bras d'yvoire pottelez, Ô... Voir le poème



... tes venimeux baisers me donneraient la peste, et croirais embrasser une rage d'enfer.... Voir le poème



... si la nuit le jaloux tient sa femme embrassée, il croit tenant ... Voir le poème



... qui me baisant là sous moi frétillait et de ses bras mon col entortillait ... Voir le poème



... je te vois, ce me semble, aujourd'hui caresser des astres et des cieux, les anges t'embrasser et chanter avec to... Voir le poème



... arbres hospitaliers ! prêtez-leur vos ombrages ; sur eux avec amour penchez vos bras amis :non, par moi vo... Voir le poème



... elles n'avoyent les belles fleurs, que mignardement tu embrassespour orner tes dine... Voir le poème



... rien n'agitait vos fronts, par le temps centuplés ! pourtant vos bras tordus et vos muscles gon... Voir le poème



... tant que tu cacheras ta tête entre mes bras !et lorsque nos d... Voir le poème



... une bacchante, aux bras fins et nerveux,sur l... Voir le poème



... ne brillent pas plus que les blancs tétins et que les bras de cette belle gouge.... Voir le poème



... tandis que la bouilloire, éveillée à demi, ronfle tout bas auprès du tison qui s'embrase,et que le feu charma... Voir le poème