156 poèmes avec "cause" | Page 2





... ceil et coeur de cet univers, cause de mille effets divers, ... Voir le poème



... on croit qu'il est mon parent, À cause de la ravine, qui se ... Voir le poème



... qui mescontent de tout de tout est desireus, et douteus n'a de rien parfaite connoissance.cause... Voir le poème



... fortune escrime et bat sans remuer les bras, le monde nous dépêche et n'en savons la cause.l'ami avec l'ami ... Voir le poème



... aux autres elle luit jusqu'au bout consumée, mais, en fin, sa clarté cause son brûlement :plus ... Voir le poème



... de l'amour infini qui t'a causé la mort, qu'en tes rêts amoureux mon âme tu enlaces.cause... Voir le poème



... ingrates déités qui causez mon dommage,le temps... Voir le poème



... et, distraite par le bonheur de leur causer cette souffrance,À ... Voir le poème



... et forme inanimez en ce clos rondissant ont leur cause, leur centre, et vont res... Voir le poème



... les témoins ont jugé, qu'elles se battraient nues. les causes du combat resteront inco... Voir le poème



... des fleurets, des fleurs, tous les tabacs rares, où l'on causerait pourtant sans orgies.... Voir le poème



... rompu sera le fier et âpre chien portier d'enfer ; sa cause est assignée. noël ... Voir le poème



... ou des grains du levant je goûte le parfum. point d'ennuyeux causeur, de témoin importun :... Voir le poème



... laissez là ce vain objet qui ne cause que des larmes.c'... Voir le poème



... celle moitié de mon tout, que plus j'ayme estre sans moy, cause et principal theme de... Voir le poème



... une morte froideur qui descend du cerveau nous cause le sommeil, une fièvre b... Voir le poème



... qui avez mes deux yeux convertis en fontaine ! Ô trop soudain départ ! ô cause de la peine qui me fa... Voir le poème



... sans faire un pas, sans quitter sa causeuse,de haut en bas,br... Voir le poème



... que mon nom ne soit rien qu'une ombre douce et vaine, qu'il ne cause jamais ni l'effroi ni la ... Voir le poème



... que de fâcheuses gens, mon dieu ! quelle coutume de demeurer si tard dans la rue à causer !otez-vous du serein... Voir le poème