2387 poèmes avec "ille" | Page 108





... tout dort, tout est tranquille, et le cristal limpide,b... Voir le poème



... n'avait servie et réduite à sa loi, fibre arrachée au coeur seul du poëte !ille... Voir le poème



... voici le triste hiver qui vient finir mes voeux ; déjà de mille vents le cerveau me bouil... Voir le poème



... il n'est pas dit que toujours faille écrire propos d'amou... Voir le poème



... plume, vous travaillez en vain en voulant c... Voir le poème



... rossignols qui faites merveilles de jergonner par ces... Voir le poème



... mais, guidant son bâton qui se heurte aux pavés, sa fille près de lui glisse, voil... Voir le poème



... le vol des guêpes d'or qui vibrait sans repos s'est tu ; le pêne grince à la grille rouillée ; la tonnel... Voir le poème



... mon coeur aride est plein de cendre et de pierrailles ;quand je rencontre ... Voir le poème



... entre tes doigts fiévreux meurent tes beaux glaïeuls ; ce soir, l’orage couve, et l’odeur des tilleulsfait pâlir par ins... Voir le poème



... les fleurs qu'en allant tu cueilles, viens fuir son arde... Voir le poème



... les soirs fuyants et fins aux ciels inconsistants où défaille et s’en va la lumière ... Voir le poème



... comme une grande fleur trop lourde qui défaille,parfois, toute en mes... Voir le poème



... sur les coussins, parmi la flore des lampas, l'effeuillement des heures d'or qu'on... Voir le poème



... dans l'air frais du matin où s'effare la feuille,dans la jeune clarté... Voir le poème



... les grands arbres d’où tombe avec un bruit très doux l’adieu des feuilles d’or parmi la solitude... Voir le poème



... tout ce qui tremble, ondule, et frissonne, et chatoie : les cheveux et les yeux, l'eau, les feuilles, la soie, et la spir... Voir le poème



... penchés vers l'occident, nous laissons nos regards sur le port et la ville, où le peuple circule,b... Voir le poème



... dans la lente douceur d'un soir des derniers jours la ville haletante exhale ses fum�... Voir le poème



... dans la solennité de ta pose immobile, seul, le rythme des mers gonfle ton sein tranquille,et sur ton lit d'amou... Voir le poème