2387 poèmes avec "ille" | Page 56





... lorsque l'enfant paraît, le cercle de familleapplaudit à grands cr... Voir le poème



... lorsqu'en me regardant tu sens que ton sourire m'enivre par degrés et fait briller mes yeux ;quand ... Voir le poème



... volant sur nos sombres rameaux, comme un frelon que l'aube éveille,le progrès, ténébr... Voir le poème



... le jour mourait ; j'étais près des mers, sur la grève. je tenais par la main ma fille, enfant qui rêve, je... Voir le poème



... et sans guetter, parmi les rameaux infinis, la conversation des feuilles et des nids. il n'es... Voir le poème



... ou la pluie à ruisseaux ! qu'il s'éveille en sursaut chaque nuit da... Voir le poème



... ces doux êtres pensifs que la fièvre maigrit ? ces filles de huit ans qu'on voit c... Voir le poème



... dans le frais clair-obscur du soir charmant qui tombe, l'une pareille au cygne et l'autre à la... Voir le poème



... mon bras pressait ta taille frêleet souple comme... Voir le poème



... qu'on sente frissonner dans toute la nature, sous la feuille des nids, au seuil blanc ... Voir le poème



... le sommeil pour vous faire oublier la nuit sombre, ni l'amour pour vous faire oublier le sommeil.ille... Voir le poème



... leur sang fait une mare affreuse sur la terre ; les vautours monstrueux fouillent leur ventre ouvert ; b... Voir le poème



... que le ciel arrose, où brille en toute saison quelq... Voir le poème



... quand novembre de brume inonde le ciel bleu, que le bois tourbillonne et qu'il neige des feuilles, Ô ma muse ! en mon... Voir le poème



... et que les halliers noirs au souffle de la nuit tressaillent, par endroits l'eau dan... Voir le poème



... la plaine verse au loin un parfum enivrant ; les yeux fermés, l'oreille aux rumeurs entrouverte,... Voir le poème



... laissez en vous, enfants qu'attendent les malheurs, humbles plantes vermeilles,bégayer vos instinc... Voir le poème



... la pyramide après trois mille ans est ridée,le lys... Voir le poème



... et l'un offrait la paix, et l'autre ouvrait ses portes, et les trônes, roulant comme des feuilles mortes,se dispersaie... Voir le poème



... dans l'étroit cimetière où l'écho nous répond, pas même un saule vert qui s'effeuille à l'automne,pas mêm... Voir le poème