84 poèmes avec "mate" | Page 4





... dans le jardin, sucré d'oeillets et d'aromates, lorsque l'aube a mo... Voir le poème



... du temps qu'athénasie était reine en riant. un diplomate russe, un nonce d'orient... Voir le poème



... comme deux cygnes blancs l'un vers l'autre nageant, deux voiles sur la mer fondant leurs pâleurs mates, livrez vos mains à... Voir le poème



... nous vous perdons, malgré nos deux mains maternelles, mais vous n'e... Voir le poème



... nostre hoste avec ses serviteurs nous croyant des reformateurs s'enfuit au traver... Voir le poème



... les mousses se noyaient dans vos regards déserts auprès des matelots ce silence vous nuit ... Voir le poème



... les vagues de la mer qui sont maternelles rides d'un ventre,... Voir le poème



... cependant que le ciel ironique lui carde, comme pour l'inviter au somme, un matelas.... Voir le poème



... doivent être constants : mais sotte est la jeunesse qui n'est point éveillée, et qui n'aime en cent lieux.mate... Voir le poème



... se divise et demeure entière ainsi que l'amour maternel !je te chante... Voir le poème



... fut selon le décret de l'arbitre éternel, rendu par une nymphe au doux sein maternel.... o douleur... Voir le poème



... ses bras savent surtout bercer et sous sa robe son sein a la chaleur maternelle du nid.la p... Voir le poème



... les grands choux violets, le rouge potiron, la tomate vernie et le pâle citron... Voir le poème



... les flots voluptueux ruisselaient d'harmonie et des larmes montaient aux yeux des matelots.les sirènes ... Voir le poème



... le stigmate ardent brûle aux fronts ... Voir le poème



... le stigmate ardent brûle aux fronts ... Voir le poème



... et le mouvement de l'eau paisible entre les fougères.mate... Voir le poème



... tu ne sais pas combien ta chair a mis de fibres dans le sol maternel et jeune de ma chair ... Voir le poème



... comme elle le fit dans l'avant-naissance au flanc maternel en un temps lointain.... Voir le poème



... nous avons le regard des chattes en gésine quand le flux maternel nous gonfle la poitri... Voir le poème