2369 poèmes avec "ment" | Page 99





... - boulevard sans mouvement ni commerce,muet, tou... Voir le poème



... et couché dans les glaïeuls, favre fait son cillement aqueduc,et ses renifl... Voir le poème



... dans ce brouillard triste et blêmi, justement !... Voir le poème



... devant la splendide étendue où l'on sente souffler la ville énormément florissante !c'es... Voir le poème



... puis y restent ! le ménage s'absente peu sérieusement, et rien ne se fait.... Voir le poème



... et bonne voix d'anges : avec les grands mouvements des sapinaiesquand p... Voir le poème



... dans les clapotements furieux des marées,... Voir le poème



... et tu voudrais conter tes contes, et tu bruis quand s'ouvrent lentement tes grandes portes noires... Voir le poème



... quand ils auront tari leurs chiques, comment agir, ô coeur volé ?br... Voir le poème



... c'est un trou de verdure où chante une rivière, accrochant follement aux herbes des haillonsb... Voir le poème



... - pauvres morts ! dans l'été, dans l'herbe, dans ta joie, nature ! ô toi qui fis ces hommes saintement !...- il est un d... Voir le poème



... ou, les yeux à la vitre où se fanent les neiges, tremblant du tremblement douloureux du crapaud.br... Voir le poème



... quand le front de l'enfant, plein de rouges tourmentes,implore l'essaim bl... Voir le poème



... par milliers, sur les champs de france, où dorment des morts d'avant-hier,b... Voir le poème



... parqués entre des bancs de chêne, aux coins d'église qu'attiédit puamment leur souffle, tous leurs ... Voir le poème



... sa mère s'effrayait ; les tendresses, profondes, de l'enfant se jetaient sur cet étonnement.c'était bon. elle av... Voir le poème



... impétueux avec des douceurs virginales et noires, fier de ses premiers entêtements,pareil aux jeunes me... Voir le poème



... et les ornières immenses du reflux, filent circulairement vers l'est,vers les p... Voir le poème



... piétinez mes vieilles terrines de sentiment ;- hop donc ! soyez-m... Voir le poème



... rougis et leurs fronts aux cieux noirs, les guerriers chevauchent lentement leurs pâles coursiers !... Voir le poème