440 poèmes avec "mere" | Page 8





... au père aussi, et saint-esprit honneur, tous trois régnant en la gloire éternelle.mere... Voir le poème



... 28 novembre 1897.mere... Voir le poème



... et dans le lait, paupière close, les chats trempent leur langue rose.mere... Voir le poème



... chaque soir, visitant sa terre, au fort de l'an, par le bruit de ses blés a l'oreille flattée.mere... Voir le poème



... devant un pauvre feu sans cesse rallumé tu connaîtras l'horreur de n'être pas aimé.mere... Voir le poème



... qu'il ne promet que joie au coeur, l'autre que peine et que rigueur...mere... Voir le poème



... tout ce qui fut, qui est et qui sera, a trait de temps son être cessera.mere... Voir le poème



... de sa bouche enivrante et de ses sombres yeux, pour armer contre moi ses baisers et ses larmes.mere... Voir le poème



... c'est ma mère, Étranger, qui sur un vain tombeau embrasse une urne vide et l'emplit de ses larmes.mere... Voir le poème



... fait toujours, dans le fond obscur de l'atelier, voler les copeaux d'or au fil de sa varlope.mere... Voir le poème



... et posant aux deux bords leurs seins fermes et blancs, dans le vase sans fond s'abreuvent des chimères.mere... Voir le poème



... ou la vierge qui tord au seuil de la caverne son corps épouvanté que flairent les dragons ?mere... Voir le poème



... si j'ai conquis la gloire et ravi le baiser ? - tu triomphes en vain, car tu meurs. - Ô délice !...mere... Voir le poème



... mais si vous laisse, aussi ne vous retien, et si sais bien qu'ailleurs n'aimerez rien ; ainsi mourrez... Voir le poème



... car le monde n'est rien qu'un enfer de misère, et l'amour en effet qu'un monde de douleurs.mere... Voir le poème



... guernesey, 2 novembre 1855, jour des morts.mere... Voir le poème



... je retombe en ce deuil qui jadis m'étouffait. personne n'est méchant, et que de mal on fait ! [...]mere... Voir le poème



... on poussait des cris de joie pour un oiseau qui passait.mere... Voir le poème



... ce que perdrait le bruit du monde le jour où paris se tairait !mere... Voir le poème



... je te proclame, toi que ronge le vautour, ma patrie et ma gloire et mon unique amour !mere... Voir le poème