1315 poèmes avec "orte" | Page 39





... l'un conduit au bonheur, l'autre mène à la gloire ; mortels, il faut choisir.b... Voir le poème



... dans ton sein, à jamais, absorbe ma pensée. orte... Voir le poème



... couvert du bouclier de ta philosophie, le temps n'emporte rien de ta félicité ;b... Voir le poème



... insensé le mortel qui pense!toute pens... Voir le poème



... tout ce qu'il a d'humain, à ce feu s'évapore ; tout ce qui reste est immortel !la prière qui ... Voir le poème



... de nos âmes de feu, les prières mortellessur leurs brûlant... Voir le poème



... vois comme cet oiseau dont le nid est la tuile nous suit pour emporter à son frileux asile br... Voir le poème



... la porte où file l'araignée, br... Voir le poème



... moins de balbutiements sortent du nid sonore, quan... Voir le poème



... l'aigle à la serre vide, en quittant les vallons, s'en saisit en jouant et l'emporte à son airepour aigui... Voir le poème



... Ô toi ! d'un feu divin précieuse étincelle, de ce corps périssable habitante immortelle,dissipe ces terreu... Voir le poème



... quand je roule en mon sein mille pensers sublimes, et que mon faible esprit, ne pouvant les porter,s'arrête en frisson... Voir le poème



... ne fera-t-il pas naître un seul jour qui n'éclaire l'angoisse des mortels ?héritiers des... Voir le poème



... ce n'est qu'une ombre qui frissonne aux pas du mortel qu'elle aima!hé... Voir le poème



... celle qui vient ressemble à celle qui s'enfuit ; ce qu'une nous apporte, une autre nous l'enlève... Voir le poème



... viens-tu dans mon sein abattu porter la lumière à mon âme ... Voir le poème



... et que l'ombre et le jour se disputent la terre, qu'il est doux de porter ses pas religieuxdan... Voir le poème



... ainsi qu'un voyageur qui, le coeur plein d'espoir, s'assied, avant d'entrer, aux portes de la ville,et respi... Voir le poème



... ainsi qu'un nouveau-né, les salue, et les nomme. quel mortel enivré de leur chaste r... Voir le poème



... vient mourir, et border les pieds du laboureur. il rattache le joug, sous la forte courroie, aux cornes ... Voir le poème