1315 poèmes avec "orte" | Page 48





... mais ton coeur est plein de fallace : voilà qui m'en fait déporterdu tout.... Voir le poème



... gris, tanné, noir, porte la fleur des fleurspo... Voir le poème



... vénus, la déesse immortelle,tu as fait mon coe... Voir le poème



... vivante ne vous laisserai ; encore, quand morte serai,l'esprit en aur... Voir le poème



... valoir ne puis, en ce monde suis mort. morte est m'amour, dont suis en... Voir le poème



... mais notre amour n'en saurait moins durer : autant ou plus en emporte le vent.maulgré envi... Voir le poème



... car il n'est feu quelque part qu'on le cache dont il ne sorte ou fumée ou challeur.br... Voir le poème



... plus que poison fuyez le dur meschef d'oisiveté, car c'est la porte et clef de tous peche... Voir le poème



... que bon renom, bien vivre et bien mourir ? puys qu'à la fin de ce mortel decours tous humains... Voir le poème



... doit la dame estre et de cueur pacifique, porter en paix les grans hurtz ... Voir le poème



... - il faut dans ces fruits-là ne mettre que la dent : on trouverait au fond une saveur amère.orte... Voir le poème



... je te l'aprends. ton corps est du limon qui fut paistri des mains de prometée.orte... Voir le poème



... des eloquens fardez que nostre siecle admire, et qui luy font porter le tiltre de coquet.... Voir le poème



... dont la molle douceur te fait aimer la vie. il faut quitter le séjour des mortels,il faut quitter phi... Voir le poème



... dans ta nudité chaste et ta toute-puissance je viens t'adorer, loin des bruits mortels.ta flamme, d'o�... Voir le poème



... elles boivent, avec l'oubli du ciel quitté, le poison du désir dans les coupes mortelles.pourtant, dan... Voir le poème



... les rêves s'en vont avec l'espérance ; n'importe : marchons seul, comme il... Voir le poème



... du monde intérieur, et suis ta conscience, cet infaillible dieu que chacun porte en soi.espères-t... Voir le poème



... c'est ton chant qu'emporte borée,ton chant où ... Voir le poème



... plus noir que diacre ou rabbin, qu'importe qu'en le pâle frêne... Voir le poème