653 poèmes avec "tait" | Page 2
La beauté de Jules Barbey D Aurevilly
... de ton sourcil froncé, de l'effort de ton rire, de ta voix qui nous ment, de ton oeil qui se tait, de tout ce qui nous ... Voir le poème
L'idole de Auguste Barbier
... Ô corse à cheveux plats ! que ta france était belleau grand soleil ... Voir le poème
La cuve de Auguste Barbier
... car les saints monuments ne restent dans ce lieu que pour dire : autrefois il existait un dieu.là, tant... Voir le poème
Chant d'automne de Charles Baudelaire
... qu'on cloue en grande hâte un cercueil quelque part. pour qui ? - c'était hier l'été ; voici l'au... Voir le poème
L'irréparable de Charles Baudelaire
... un être, qui n'était que lumière, or et gaze,... Voir le poème
La vie antérieure de Charles Baudelaire
... qui me rafraîchissaient le front avec des palmes, et dont l'unique soin était d'approfondirle secre... Voir le poème
Le balcon de Charles Baudelaire
... et les soirs au balcon, voilés de vapeurs roses. que ton sein m'était doux ! que ton coeur m'é... Voir le poème
Le crépuscule du matin de Charles Baudelaire
... la diane chantait dans les cours des casern... Voir le poème
Le jet d'eau de Charles Baudelaire
... dans la cour le jet d'eau qui jase et ne se tait ni nuit ni jour,entre... Voir le poème
Le parfum de Charles Baudelaire
... vivant sachet, encensoir de l'alcôve, une senteur montait, sauvage et fauve,br... Voir le poème
Le vin de l'assassin de Charles Baudelaire
... elle était encore jolie,quoique ... Voir le poème
Les bijoux de Charles Baudelaire
... la très-chère était nue, et, connaissant mon ... Voir le poème
Les petites vieilles de Charles Baudelaire
... il en est qui, faisant de la douleur un miel ont dit au dévouement qui leur prêtait ses ailes :hippogriff... Voir le poème
Les sept vieillards de Charles Baudelaire
... et sa barbe à longs poils, roide comme une épée, se projetait, pareille à celle de jud... Voir le poème
Rêve parisien de Charles Baudelaire
... babel d'escaliers et d'arcades, c'était un palais infini, ple... Voir le poème
Tous imberbes alors, sur les vieux bancs de chêne de Charles Baudelaire
... où l'enfant boit, dix ans, l'âpre lait des études. c'était dans ce vieux temps, mém... Voir le poème
Un voyage à Cythère de Charles Baudelaire
... ou le roucoulement éternel d'un ramier ! - cythère n'était plus qu'un terrain des pl... Voir le poème
Une charogne de Charles Baudelaire
... comme une fleur s'épanouir. la puanteur était si forte, que sur l'herbe... Voir le poème
Portrait des Français de Fanny De Beauharnais
... bien frivole, bien incommode. si la raison était de mode, vous auriez ... Voir le poème
Je meurs, ô doux baisers, et sens dedans mon âme de Christofle De Beaujeu
... mon mal m'était plus doux que ma santé m... Voir le poème