653 poèmes avec "tait" | Page 2





... de ton sourcil froncé, de l'effort de ton rire, de ta voix qui nous ment, de ton oeil qui se tait, de tout ce qui nous ... Voir le poème



... Ô corse à cheveux plats ! que ta france était belleau grand soleil ... Voir le poème



... car les saints monuments ne restent dans ce lieu que pour dire : autrefois il existait un dieu.là, tant... Voir le poème



... qu'on cloue en grande hâte un cercueil quelque part. pour qui ? - c'était hier l'été ; voici l'au... Voir le poème



... un être, qui n'était que lumière, or et gaze,... Voir le poème



... qui me rafraîchissaient le front avec des palmes, et dont l'unique soin était d'approfondirle secre... Voir le poème



... et les soirs au balcon, voilés de vapeurs roses. que ton sein m'était doux ! que ton coeur m'é... Voir le poème



... la diane chantait dans les cours des casern... Voir le poème



... dans la cour le jet d'eau qui jase et ne se tait ni nuit ni jour,entre... Voir le poème



... vivant sachet, encensoir de l'alcôve, une senteur montait, sauvage et fauve,br... Voir le poème



... elle était encore jolie,quoique ... Voir le poème



... la très-chère était nue, et, connaissant mon ... Voir le poème



... il en est qui, faisant de la douleur un miel ont dit au dévouement qui leur prêtait ses ailes :hippogriff... Voir le poème



... et sa barbe à longs poils, roide comme une épée, se projetait, pareille à celle de jud... Voir le poème



... babel d'escaliers et d'arcades, c'était un palais infini, ple... Voir le poème



... où l'enfant boit, dix ans, l'âpre lait des études. c'était dans ce vieux temps, mém... Voir le poème



... ou le roucoulement éternel d'un ramier ! - cythère n'était plus qu'un terrain des pl... Voir le poème



... comme une fleur s'épanouir. la puanteur était si forte, que sur l'herbe... Voir le poème



... bien frivole, bien incommode. si la raison était de mode, vous auriez ... Voir le poème



... mon mal m'était plus doux que ma santé m... Voir le poème