653 poèmes avec "tait" | Page 25





... semiramis avait des jardins merveilleux, le tombeau de mausole était miraculeux, et ne lui... Voir le poème



... aux armes et vertueux faits : et s'il en sortait quelque effetdigne d'... Voir le poème



... si qu'un bouquet donné d'amour profonde c'était donner toute la terre ron... Voir le poème



... sa science n'était point vile, mais bonn... Voir le poème



... et de vertu seriez plus estimée, qu'autre qui soit, si n'était cruauté.mais pour vo... Voir le poème



... ce pluvieux hiver, c'était l'antique loi, ce gra... Voir le poème



... ce pluvieux hiver c'était l'antique loi,ce grac... Voir le poème



... ah ! mon ciel était là, je m'en suis aperçu... Voir le poème



... qui sait si notre âme, cette aile, n'était pas plus en sûretéa... Voir le poème



... et le porphyre en plus d un endroit est fendu ; un jet d'eau qui montait n'est point redescendu, ... Voir le poème



... À l'abri de l'hiver qui jetait vaguementsa clameur, ... Voir le poème



... au temps heureux où régnait l'innocence on goûtait, en aimant, mille et mill... Voir le poème



... car toujours, en mon coeur, l'impur amour des villes chantait plus haut que la forêt e... Voir le poème



... au temps de ma jeunesse, harmonieuse lyre, comme l'eau sous les fleurs, ainsi chantait ta voix ;et maintenan... Voir le poème



... hier : c'était les soleils jaunes.hi... Voir le poème



... j'ai choisi cette rose au fond d'un vieux panier que portait par la rue une marchande ... Voir le poème



... je ne regrette rien, ni des lauriers superbes l'honneur qui m'était dû,ni cet heureux pl... Voir le poème



... où j'aime de ma peine à rêver quelquefois, trois satyres amis ; l'un une outre portait et pourtant sautelait... Voir le poème



... mais j'osais supputer et ta faute et la mienne, et dans mon coeur, c'était comme une affreuse poixb... Voir le poème



... vous périssiez, et dans vos rangs la place d'un frère était vide. mais nous ne fo... Voir le poème