653 poèmes avec "tait" | Page 31





... car, aussitôt que j'eus le coup reçu, et que la plaie était fraîche et entière, br... Voir le poème



... de ton sein fit jaillir une source écumante, et ta voix était triste et ton âme charma... Voir le poème



... le bois était triste aussi,et du fe... Voir le poème



... ... tu te taisais ; sous tes beaux cheveux lourds ta tête à l’abandon, lasse, s’était penchée,et l’indé... Voir le poème



... le ciel suave était jonché de pâles roses..... Voir le poème



... vos étangs miroitaient de seins nus et d’épaules, et le faune amoureux, qui guettait dans les saules,sous ... Voir le poème



... je n’ai songé qu’à toi, ma belle, l’autre soir. quelque chose flottait de tendre dans l’air no... Voir le poème



... leurs voix d'amour pleuraient des larmes dans la brise, et c'était une extase où le coeur p... Voir le poème



... me suivait, comme un bruit de feuilles dans le vent ; et ma beauté jetait des feux comme une armure... Voir le poème



... dans le palais silencieux qu’était son coeur,des femmes,... Voir le poème



... le monde qui portait nos vastes destinées... Voir le poème



... c'est ici que la reine, en écoutant zémire, rêveuse, s'éventait dans la tiédeur des nuit... Voir le poème



... je le tenais si bien dans mon âme enfermé, il habitait mon sein, il buvait mes t... Voir le poème



... des flûtes de bergers essayaient un accord. je t'offre la fraîcheur dont ma bouche était pleine,le duvet mauve... Voir le poème



... et j'ai pris le chemin des chaumières nocturnes. que l'instant était doux dans le tranquille s... Voir le poème



... s'attriste aujourd'hui et quel frais bonheur de vivre agitait tes jambes légères ... Voir le poème



... pour te montrer à l'oeil évidemment que tel se tait et de langue et de voix, ... Voir le poème



... ruisseau qui murmurez, évitez les cailloux, et si le vent se tait, faites la même chose.b... Voir le poème



... chang-ti ! si pourtant cela était que tu fusses, haut c... Voir le poème



... ni grands efforts. même le nouveau-né se trouva recueilli par un oiseau qui d'une aile faisait sa couche et de l'autre l'éventait.ceci est croyable... Voir le poème