1237 poèmes avec "tend" | Page 52





... certe elle m'aimait bien, la gentille maîtresse. quelle bonté pour moi, que de soins, de tendresse ! comme elle me ... Voir le poème



... seul, un oiseau, perché sur la plus haute feuille, entend les mots qu'on dit et les... Voir le poème



... salut ! ton char de glace est traîné par des ours, et les cieux assombris tendent sur son parcours u... Voir le poème



... font sonner les talons sur ses côtes velues. on entend dans le bois, de plus en ... Voir le poème



... et du matin au soir les heures passent toutes sans qu'on voie un visage ou qu'on entende un pas.c'est là... Voir le poème



... il leur est arrivé de marcher du matin au soir, et puis du soir au matin, sans entendre le son que fait un ... Voir le poème



... la gelée aux doigts blancs et les bises bourrues. on entend haleter le souffle des ga... Voir le poème



... de son retrait, la dame entend voix et guitares, tan... Voir le poème



... sautant de motte en motte après la mouche bleue, on entend pépier les brusques hoch... Voir le poème



... pour que leurs forces soient en paix en attendant le bain dans la mer, �... Voir le poème



... dans de longs accroupissements, entendront des rameaux qui casse... Voir le poème



... entends comme brameprès des... Voir le poème



... se détruira-t-elle comme les fleurs feues... devant la splendide étendue où l'on sentesouff... Voir le poème



... de donjons visités, de parcs importants : c'est en ces bords qu'on entendles passions mortes de... Voir le poème



... je buvais, accroupi dans quelque bruyère entourée de tendres bois de noisetiers,br... Voir le poème



... mêlant aux fleurs des yeux de panthères à peaux d'hommes ! des arcs-en-ciel tendus comme des bridessou... Voir le poème



... et la nuque baignant dans le frais cresson bleu, dort ; il est étendu dans l'herbe, sous la nu... Voir le poème



... les salades, les fruits n'attendent que la cueillette ;br... Voir le poème



... il entend leurs cils noirs battant ... Voir le poème



... les pauvres au bon dieu, le patron et le sire, tendent leurs oremus risibles ... Voir le poème