535 poèmes avec "terne" | Page 14





... chantante, et c'est ici qu'à ses vagues prunelles apparurent des fleurs qui semblaient éternelles. ici la vie étai... Voir le poème



... et la petite fleur, par-dessus le vieux mur, regardait fixement, dans l'éternel azur, le grand astre... Voir le poème



... morne, épuisé, raillé par les forçats humains, j'ai porté mon chaînon de la chaîne éternelle.maintenant, mo... Voir le poème



... Ô miroitant et terne enfumé, quand je contemp... Voir le poème



... myrrhe bruloit jadis d'une flamme enragée, osant souiller au lict la place maternellescylle jadis tondan... Voir le poème



... voilà ce qui si fort à aimer me contraint celle à qui j'ai voué amitié éternelle, telle que ni ... Voir le poème



... par un ordre éternel qu'on voit en l'univers... Voir le poème



... sur les quinze dégrez, quinze pseaumes chantoit, alors qu'à l'eternel ses veus il présentoit ... Voir le poème



... ainsi nous envoya dieu le pere eternel son verbe et sa sple... Voir le poème



... cette breve oraison marque distinctement en luy deux volontez, ainsi que deux natures.terne... Voir le poème



... constant observateur de ses loix eterneles, il patit sans jam... Voir le poème



... ses dix pauvres brebis : mais les fermes chaussées de ce coeur maternel vont leur effort bravant... Voir le poème



... par le pere choisis des bandes coronnelles, jaloux d'executer les charges paternelles accompagnent le f... Voir le poème



... et le fils descendant du séjour paternel, brûlant dans ce ha... Voir le poème



... o dieux hospitaliers, que vois-je ici paraître ? dit l'animal chassé du paternel logis :o là, madame... Voir le poème



... mais las ! tandis que sa gloire eternelle revit en moy, chet... Voir le poème



... hélas ! si ma prison me doit être éternelle, retenant ma franc... Voir le poème



... tu sombrais, radieux comme un grand saint-ciboire, incendiant l'azur ! À présent, nous voyons un disque safrané, malade, sans rayons, qui meurt à l'horizon balayé de cinabre, tout seul, dans un décor poitrinaire et macabre, colorant faiblement les nuages la terre a fait son temps ; ses reins n'en peuvent plus. et ses pauvres enfants, grêles, chauves et blêmes d'avoir trop médité les éternels problèmes, grelottants... Voir le poème



... eternelles, chères embûchesbr... Voir le poème



... mon bateau de fleurs est prêt, j'y veux rêver à l'ombre de tes maternelles protubérances,en... Voir le poème