116 poèmes avec "tiede" | Page 5





... et de la tiède nuit la lueur argentine sur tes contours divins flottera mollement.tiede... Voir le poème



... mais je ne puis toucher ta main, ami, je suis la solitude.tiede... Voir le poème



... et son ombre sera légère À la terre où je dormirai.tiede... Voir le poème



... et vous savez pourtant le mal que vous apporte ce dieu tout irrité des combats dont il vient...tiede... Voir le poème



... et j'ai fait de mon coeur, aux pieds des voluptés, un vase d'orient où brûle une pastille...tiede... Voir le poème



... quel bras, impitoyable aux echappés du monde, te pousse à l'est, pendant que je me sauve au nord !tiede... Voir le poème



... mais cuidant me ranger sous leur fatale loi, leurs yeux sont aveuglés de sa splendeur divine...tiede... Voir le poème



... où, semblable à l'odeur des antiques tombeaux, un parfum sépulcral monte des lys nocturnes.tiede... Voir le poème



... d'ail, - et m'emplit la chope immense, avec sa mousse que dorait un rayon de soleil arriéré.tiede... Voir le poème



... au réveil il était midi.tiede... Voir le poème



... or ! tel qu'un pêcheur d'or ou de coquillages, dire que je n'ai pas eu souci de boire !tiede... Voir le poème



... avec le vol silencieux de beaux petits papillons jaunes.tiede... Voir le poème



... emporte dans l'air et sur l'eau leur odeur amère et salubre.tiede... Voir le poème



... d’où vient cet éternel sanglot délicieux qui roule du profond de l’homme vers tes yeux !tiede... Voir le poème



... jusqu'à son coeur et par ses yeux évanouis sentir tomber des baisers doux comme des neiges...tiede... Voir le poème



... tes bras, tes bras profonds et doux comme la mort.tiede... Voir le poème



... un soir de volupté suprême, où tout s’oublie, Ô ange de faiblesse et de mélancolie.tiede... Voir le poème



... o les belles, embarquez-vous !tiede... Voir le poème



... pendant que s’entr’ouvrait, blancheur vibrante et pure, mon âme - comme un lys ! - passée à ta ceinture.tiede... Voir le poème



... et de ses longues mains, elle flatte, la vierge, À ses pieds allongé son tigre, le désir.tiede... Voir le poème