338 poèmes avec "train" | Page 1





... a l'entrain général à son tour s'a... Voir le poème



... laisser mon sens captif par la flamme périr ? puis-je voir la beauté qui me contraint mourir se rire en sa... Voir le poème



... fors que le changement lui redonne la vie, et c'est le changement qui me traîne au tombeau.train... Voir le poème



... mets-moi en long ennui, mets-moi en joie brève, en franche liberté, en servage contraint ;soit que libre je s... Voir le poème



... serait semonce à lamenter et plaindre. car si pitié peut noblesse contraindre, et tout bon coeur... Voir le poème



... font resplendir leurs feux charmants : dans un plat d'or elle porte le chef sanglant de jean baptiste.train... Voir le poème



... le poëte n'est pas toujours en train de réjouir les ourse... Voir le poème



... les trains rêvent dans la rosée, ... Voir le poème



... plus éclatantes et plus belles, t'infuser mon venin, ma soeur !train... Voir le poème



... que ta maigre nudité, Ô ma beauté !train... Voir le poème



... elle regardera la face de la mort, ainsi qu'un nouveau-né, - sans haine et sans remord.train... Voir le poème



... mais le calme héros, courbé sur sa rapière, regardait le sillage et ne daignait rien voir.train... Voir le poème



... comme l'azur du ciel, les oiseaux et les fleurs, ses parfums, ses chansons et ses douces chaleurs !train... Voir le poème



... que déesse famine a par un soir d'hiver, contrainte à relever ses jupons e... Voir le poème



... exilé sur le sol au milieu des huées, ses ailes de géant l'empêchent de marcher.train... Voir le poème



... malgré tout ce que nous savons, mené le train d'un hérétique ;br... Voir le poème



... et le sombre paris, en se frottant les yeux, empoignait ses outils, vieillard laborieux.train... Voir le poème



... et pousser une lourde bêche sous notre pied sanglant et nu ?train... Voir le poème



... vois, je me traîne aussi ! mais, plus qu'eux hébété, je dis : que cherchent-ils au ciel, tous ces aveugles ?train... Voir le poème



... où serez-vous demain, Èves octogénaires, sur qui pèse la griffe effroyable de dieu ?train... Voir le poème