338 poèmes avec "train" | Page 4





... abeilard n'est pas mon maître, alcibiade non plus !train... Voir le poème



... señora : merci, toi ! pour être si jolie ... ma jolie, et : merci pour m'avoir regardé !train... Voir le poème



... tout bleus de froid et morts sans doute sur la grand'route. train... Voir le poème



... l'hiver ni l'été, dans le train d'aucune gare. ... Voir le poème



... ainsi de ta fertile veine jamais ne soit l'humeur tarie.train... Voir le poème



... ceux qui avaient l'autorité plénière, contraint les a de leurs sièges d... Voir le poème



... une autre fois vous serez enseignés ; je me suis bien contraint pour les écrire.br... Voir le poème



... s'il osait revenir, je le dirais encore : mais on approche, on parle... hélas ! ce n'est pas lui !train... Voir le poème



... ce n'est qu'un vieux prêtre qui pleure : sentinelle ! ne tirez pas !train... Voir le poème



... va voir ! et ne reviens qu'après avoir touché le rêve... mon beau rêve à la terre caché !train... Voir le poème



... s'il parle, écoute un peu sa voix : je ne veux pas trop t'y contraindre ;je sais combien e... Voir le poème



... je vois changer l'encens en camouflets : tout est perdu si ce train continue. ramène-nou... Voir le poème



... (quatrième promenade)train... Voir le poème



... Ô ciel rigoureux et contraire ! c'est toi qui contrains mon vouloir,ains... Voir le poème



... et tellement l'air de cris remplissait que la mort même à pleurer eut contrainte.hélas ! mon di... Voir le poème



... que n'avez-vous encore, ô vous, troupe étoilée, empêché le soleil de commencer son train ?Ô dieu ! permet... Voir le poème



... c'est me poursuivre, amour, trop rigoureusement ! j'aime, et je suis contraint de feindre une autre cho... Voir le poème



... sépulcre aussi, rempli de cendres jusqu'aux bords, mon âme, songe à l'ombre, au sommeil, songe aux morts !train... Voir le poème



... tous deux nous restons là, spectres silencieux, et nous nous contemplons fixement dans les yeux.train... Voir le poème



... l'incurable dégoût de la clameur humaine dont la nuit au néant traîne le vain orgueil !train... Voir le poème