338 poèmes avec "veau" | Page 1





... quelques potirons ! aux doux veaux rognonsleurs tendres... Voir le poème



... pénétraient, nous parlant d'écoles buissonnières et mettant la folie en nos jeunes cerveaux, des cris d'oiseaux ... Voir le poème



... apôtre dévoué de la gloire d’un autre ; fais-toi du nouveau dieu confesseur et martyr... Voir le poème



... me fit goûter la mort, la mort et la ruine pour de nouveau venir à l'immortalité.... Voir le poème



... ils ont chanté que quand les esprits bienheureux par la voie de lait auront fait nouveaux feux,le grand moteur... Voir le poème



... la terre ouvre son sein, du ventre des tombeaux naissent des enterrés les visages nouveaux :du pré, du bois, d... Voir le poème



... d'un amour plein de vent qui, muable, se change aux vouloirs d'un cerveau plus que l'air inconstant... Voir le poème



... voicy venir les ventelets nouveaux du beau printemps : ... Voir le poème



... m'a quitté presque au goust delitieux d'un nouveau bien, dont ton oeil l'a s... Voir le poème



... durant cette saison belle du renouveau gracieux,lorsque tout... Voir le poème



... si leur alcibiade et leur sage phryné abandonnent déjà ce siècle nouveau-né ; si dans notre p... Voir le poème



... j'aime à tenir quarante nouveaux coupons de rente,et ... Voir le poème



... dieu, sur son trône assis, a pétri de nouveau, pour en refaire un monde... Voir le poème



... montent sur la cité comme une vaste écume ; là, personne ne dort, là, toujours le cerveautravaille, et, comme l... Voir le poème



... elle regardera la face de la mort, ainsi qu'un nouveau-né, - sans haine et sans... Voir le poème



... serré, fourmillant, comme un million d'helminthes, dans nos cerveaux ribote un peuple de dém... Voir le poème



... endormeuses saisons ! je vous aime et vous loue d'envelopper ainsi mon coeur et mon cerveaud'un linceul vaporeux ... Voir le poème



... qui peuvent se plonger dans un sommeil stupide. tant l'écheveau du temps lentement se dé... Voir le poème



... et pourtant, me traînant chaque nuit sur son corps, ainsi qu'un nouveau-né, je la tette et la mo... Voir le poème



... n'ont qu'un espoir, étrange et sombre capitole ! c'est que la mort, planant comme un soleil nouveau,fera s'épanouir les ... Voir le poème