1374 poèmes avec "vent" | Page 51





... ce qui servait d'asile aux habitants des cieux. tu meurs ! un vent du soir vient t'embrasser... Voir le poème



... et voylà qu'en mon sein la troupe vagabonde des vents de mes souspirs haleine ... Voir le poème



... et moi je te voyais en un calme couvent t'asseoir, rigide et ... Voir le poème



... et voici que du ciel uniforme et claustral une paix de couvent tombe sur ma pensée.... Voir le poème



... plane un calme lugubre et glacial d'automne. nul vent. les becs de gaz en file ... Voir le poème



... quand un vent balsamique arrivait des v... Voir le poème



... le parc bien clos s'emplit de paix et d'ombre lente : un vent grave a soufflé sur le n... Voir le poème



... ses yeux durs font rêver d'aventures sublimes, et ses ... Voir le poème



... quand le vent automnal sonne le deuil d... Voir le poème



... oncques du chastel bien n'issy : les mors qu'on voit par ceste vente*** sont mors par ces... Voir le poème



... voir toute une province unie à tes États ! les rapides torrents et les vents et la foudrevont-ils... Voir le poème



... et, lorsqu'on aime et que le coeur soupire, son propre mal souvent le satisfait.le m... Voir le poème



... en ses bras torturés a rejailli plus net ; les lis de son manteau lui servent seuls de chrême.... Voir le poème



... ce n'est point le zéphyr sur les flots de la mer, c'est la plainte du vent sur ta morne étendue... Voir le poème



... qu'il fende heaumes beaux et si clairs, son pennon, qu'il ventèle, est loque ! le h... Voir le poème



... dans les berceaux fleuris, les larmes des lutins lavent toute souillure, et l'éc... Voir le poème



... dans les cieux plombés et noirs comme un remords, leurs cris dans le vent aigu comme un remords.br... Voir le poème



... quand sur la triste plaine où descend le mystère, elle lamente au vent qui précède la nuit !... Voir le poème



... rose, tu m'apparus très pâle et fantastique et frissonnante au vent plein de pluie et de mort... Voir le poème



... délices de mes doigts, ma force et ma gaîté, maintenant tu te plains : au vent qui le secoueinutile ... Voir le poème