Ce qui arriva à Surinam, et comment Candide fit connaissance avec MartinLa première journée de nos deux voyageurs fut assez agréable. Ils étaient encouragés par l’idée de se voir possesseurs de plus de trésors que l’Asie, l’Europe et l’Afrique, n’en pouvaient rassembler. Candide transporté, écrivit le nom de Cunégonde sur les arbres. À la...
Lire la suiteCe qui arriva sur mer à Candide et à MartinLe vieux savant, qui s’appelait Martin, s’embarqua donc pour Bordeaux avec Candide. L’un et l’autre avaient beaucoup vu et beaucoup souffert ; et quand le vaisseau aurait dû faire voile de Surinam au Japon par le cap de Bonne-Espérance, ils auraient eu de quoi s’entretenir...
Lire la suiteCandide et Martin approchent des côtes de France, et raisonnentOn aperçut enfin les côtes de France. « Avez-vous jamais été en France, monsieur Martin ? dit Candide. — Oui, dit Martin, j’ai parcouru plusieurs provinces. Il y en a où la moitié des habitants est folle, quelques-unes où l’on est trop rusé, d’autres où...
Lire la suiteCe qui arrive en France à Candide et à MartinCandide ne s’arrêta dans Bordeaux qu’autant de temps qu’il en fallait pour vendre quelques cailloux du Dorado, et pour s’accommoder d’une bonne chaise à deux places : car il ne pouvait plus se passer de son philosophe Martin ; il fut seulement très-fâché de se...
Lire la suiteCandide et Martin vont sur les côtes d’Angleterre ; ce qu’ils y voient« Ah ! Pangloss ! Pangloss ! Ah ! Martin ! Martin ! Ah ! ma chère Cunégonde ! qu’est-ce que ce monde-ci ? disait Candide sur le vaisseau hollandais. — Quelque chose de bien fou et de bien abominable, répondait Martin....
Lire la suiteDe Paquette, et de Frère Giroflée.Dès qu’il fut à Venise, il fit chercher Cacambo dans tous les cabarets, dans tous les cafés, chez toutes les filles de joie, et ne le trouva point. Il envoyait tous les jours à la découverte de tous les vaisseaux et de toutes les barques : nulles nouvelles de...
Lire la suiteVisite chez le seigneur Pococurante, noble vénitien.Candide et Martin allèrent en gondole sur la Brenta, et arrivèrent au palais du noble Pococurante. Les jardins étaient bien entendus, et ornés de belles statues de marbre ; le palais, d’une belle architecture. Le maître du logis, homme de soixante ans, fort riche, reçut très-poliment les deux...
Lire la suiteD’un souper que Candide et Martin firent avec six étrangers, et qui ils étaientUn soir que Candide, suivi de Martin, allait se mettre à table avec les étrangers qui logeaient dans la même hôtellerie, un homme à visage couleur de suie l’aborda par derrière, et, le prenant par le bras, lui dit : «...
Lire la suiteVoyage de Candide à ConstantinopleLe fidèle Cacambo avait déjà obtenu du patron turc qui allait reconduire le sultan Achmet à Constantinople qu’il recevrait Candide et Martin sur son bord. L’un et l’autre s’y rendirent après s’être prosternés devant Sa misérable Hautesse. Candide, chemin faisant, disait à Martin : « Voilà pourtant six rois détrônés...
Lire la suiteCe qui arriva à Candide, à Cunégonde, à Pangloss, à Martin, etc.« Pardon, encore une fois, dit Candide au baron ; pardon, mon révérend père, de vous avoir donné un grand coup d’épée au travers du corps.— N’en parlons plus, dit le baron ; je fus un peu trop vif, je l’avoue ; mais...
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