Candide et Martin approchent des côtes de France, et raisonnentOn aperçut enfin les côtes de France. « Avez-vous jamais été en France, monsieur Martin ? dit Candide. — Oui, dit Martin, j’ai parcouru plusieurs provinces. Il y en a où la moitié des habitants est folle, quelques-unes où l’on est trop rusé, d’autres où...
Lire la suiteCe qui arrive en France à Candide et à MartinCandide ne s’arrêta dans Bordeaux qu’autant de temps qu’il en fallait pour vendre quelques cailloux du Dorado, et pour s’accommoder d’une bonne chaise à deux places : car il ne pouvait plus se passer de son philosophe Martin ; il fut seulement très-fâché de se...
Lire la suiteCandide et Martin vont sur les côtes d’Angleterre ; ce qu’ils y voient« Ah ! Pangloss ! Pangloss ! Ah ! Martin ! Martin ! Ah ! ma chère Cunégonde ! qu’est-ce que ce monde-ci ? disait Candide sur le vaisseau hollandais. — Quelque chose de bien fou et de bien abominable, répondait Martin....
Lire la suiteDe Paquette, et de Frère Giroflée.Dès qu’il fut à Venise, il fit chercher Cacambo dans tous les cabarets, dans tous les cafés, chez toutes les filles de joie, et ne le trouva point. Il envoyait tous les jours à la découverte de tous les vaisseaux et de toutes les barques : nulles nouvelles de...
Lire la suiteVisite chez le seigneur Pococurante, noble vénitien.Candide et Martin allèrent en gondole sur la Brenta, et arrivèrent au palais du noble Pococurante. Les jardins étaient bien entendus, et ornés de belles statues de marbre ; le palais, d’une belle architecture. Le maître du logis, homme de soixante ans, fort riche, reçut très-poliment les deux...
Lire la suiteD’un souper que Candide et Martin firent avec six étrangers, et qui ils étaientUn soir que Candide, suivi de Martin, allait se mettre à table avec les étrangers qui logeaient dans la même hôtellerie, un homme à visage couleur de suie l’aborda par derrière, et, le prenant par le bras, lui dit : «...
Lire la suiteVoyage de Candide à ConstantinopleLe fidèle Cacambo avait déjà obtenu du patron turc qui allait reconduire le sultan Achmet à Constantinople qu’il recevrait Candide et Martin sur son bord. L’un et l’autre s’y rendirent après s’être prosternés devant Sa misérable Hautesse. Candide, chemin faisant, disait à Martin : « Voilà pourtant six rois détrônés...
Lire la suiteCe qui arriva à Candide, à Cunégonde, à Pangloss, à Martin, etc.« Pardon, encore une fois, dit Candide au baron ; pardon, mon révérend père, de vous avoir donné un grand coup d’épée au travers du corps.— N’en parlons plus, dit le baron ; je fus un peu trop vif, je l’avoue ; mais...
Lire la suiteComment Candide retrouva Cunégonde et la vieillePendant que Candide, le baron, Pangloss, Martin, et Cacambo, contaient leurs aventures, qu’ils raisonnaient sur les évènements contingents ou non contingents de cet univers, qu’ils disputaient sur les effets et les causes, sur le mal moral et sur le mal physique, sur la liberté et la nécessité, sur...
Lire la suiteConclusionCandide, dans le fond de son cœur, n’avait aucune envie d’épouser Cunégonde ; mais l’impertinence extrême du baron le déterminait à conclure le mariage, et Cunégonde le pressait si vivement qu’il ne pouvait s’en dédire. Il consulta Pangloss, Martin, et le fidèle Cacambo. Pangloss fit un beau mémoire par lequel il prouvait que le...
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